Denis Coutagne, Conservateur du Musée Granet à propos de la rétrospective de 1983 :
«... Car d'œuvres peintes par ZAWADO, elles deviennent des réalités absolues devant lesquelles nous nous arrêtons en disant : « Tiens, voilà des ZAWADO »comme autant d'objets propres dont la force lumineuse nous atteint d'elle-même... »
Georges Duby à propos de la rétrospective de 1991 :
« ...La méditation de ZAWADO devant la lumière de ce pays s'est ainsi poursuivie pendant un demi-siècle, et l'on discerne dans son œuvre aujourd'hui, rassemblée, ce que sous cette méditation, il apportait avec lui des origines : un émoi devant la couleur portée à sa plus forte vivacité, et cette fougue surtout, qui emporte la composition dans le jaillissement des bourrasques. Il me semble que toute la recherche aboutit à ces aquarelles où l'on voit s'instaurer l'instable équilibre entre l'exubérance polonaise et le classicisme cézannien. »
Et Louis Martinez, professeur à l'Université de Provence :
« ... De l'artiste contemporain, ZAWADO a repoussé les ambitions métaphysiques et les simplifications rassurantes. C'était sans doute par une conjonction bien rare de la fierté et de l'humilité. Son honneur d'artiste, aussi simple que sa noblesse de sang, le portait à interroger lentement, patiemment, la figure quotidienne du monde... »
J. Czapski, fondateur des kapistes, dont ZAWADO était membre, à propos de l'exposition à la Bibliothèque Polonaise en 1946 :
«... Cette écriture personnelle que l'on reconnaît tout de suite. Ces toiles si fraîches, ces œuvres jeunes, telle est la gloire de ZAWADO... »
L'écrivain Charles Albert Cingria:
« Un homme tel que l'on peut faire cinq fois le tour de la terre avant de rencontrer son semblable. »